vendredi 15 mai 2015

NeuPSIG 2015 Nice - Les liens entre les comportements anxio-dépressifs et la douleur neuropathique

La première conférences à laquelle j'ai assistée hier portait sur les liens entre les comportements anxiogènes et dépressifs dans la douleur neuropathique. J'ai préparé, ci-bas, un petit résumé de cette conférence donné par les Drs E. Berrocoso, I. Yalcin et S. Baudic

1.   En laboratoire, lors d’une blessure neuropathique des comportements anxiogéniques et dépressifs vont se développer chez l’animal mais ce n’est pas visible initialement. Ces changements deviennent apparents seulement à compter de la 4e semaine après la blessure,

2.       Ces changements sont en lien avec différents mécanismes cérébraux dont
a.       Une hausse de libération de noradrénaline par le locus ceoroleus dans le lobe frontal. Ce mécanisme est différent de celui du HPA axis impliqué dans la réaction de stress. (axe Hypothalamo-pituitaire-surrénal)
                                                               i.      L’administration d’une médication anxiolytique contrôlant la libération de noradrénaline tempère l’apparition de ces symptômes anxio-dépressifs.
b.      Le cortex cingulaire antérieur joue également un rôle important dans l’apparition de ces comportements anxio-dépressifs.
                                                               i.      Mais, d’un point de vu cortical, ces composantes behaviorales semblent dissociées de la composante sensorielle puisqu’une lésion volontaire du cortex cingulaire antérieur va prévenir le développement des comportements anxiogènes et dépressifs mais ne préviendra pas la douleur spontanée et ne limitera pas l’apparition d’allodynie suite à une blessure neuropathique.

3.       Tout cela semble démontrer que c’est la douleur neuropathique qui entraine l’apparition de comportement anxio-dépressifs et non l’inverse. Cependant, ce n’est pas si simple car la présence d’anxiété et de dépression préalablement à une lésion neuropathique permet de prédire dans une certaine mesure la persistance et l’intensité de la douleur 6 mois après la lésion. Cela suggère qu’il y a donc aussi un lien de causalité potentiel entre les comportements anxio-dépressifs et le risque de chronicité lors d’une blessure neuropathique.

4.       Les liens entre la douleur neuropathique et les comportements anxiogènes et dépressifs semblent liés par des mécanismes qui sont propre à ce type de douleur car ces mécanismes sont différents lorsqu’il s’agit d’une douleur non-neuropathique.
      
       En conclusion, comme d'habitude avec la douleur, rien n'est simple et les relations entre les variables sont très complexes. À noter que, une fois la douleur disparue, Il est prouvé que les comportements anxio-dépressifs peuvent demeurer malgré tout présents. Il est donc important de s'en occuper, qu'ils aient un lien causal ou pas avec la douleur.


1 commentaire:

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